Le site openrunner.com permet de créer, d’exploiter, et d’afficher les tracés des parcours. Pour avoir un aperçu du résultat, je publie la sortie du jour… Pour faire bouger le « point » sur parcours, il suffit de faire glisser la réglette rouge sur le profil, sous la carte.
« Et ne nous soumets pas à la tentation »
Les bonnes résolutions – ou plutôt « mes » bonnes résolutions – dans le sport, sont comparables à la Fidélité dans le mariage. En effet, lorsqu’on s’engage, on y croit vraiment. On est infaillible, invincibles. Et puis avec le temps, la routine, on veut découvrir de nouveaux horizons, changer de cap, voire revenir en arrière, bien avant « tout ça », au « bon vieux temps »… Moi qui ne suis qu’un homme, un tout petit bonhomme, je suis de ceux-là. Et aujourd’hui, je me suis laisser influencer par « les Grands », et j’ai craqué.
J’avais prévu de suivre scrupuleusement un programme d’entraînement spécifique de plusieurs semaines. D’après le calendrier établi, c’est hier que devait se dérouler la séance d’home-trainer. Et puis la flemme m’a envahi, le vélo est resté contre le mur, et moi sur le canapé… Aujourd’hui dimanche, après avoir mangé un bon poulet-frites bien calorique, un coup de zappette m’a fait tomber nez-à-nez avec le Paris-Roubaix. De beaux vélos, un soleil magnifique, des paysages alléchants… Mon esprit a été enivré par cette vision, et le coup de foudre a été instantané ! C’était pour aujourd’hui, et c’était pour dehors !!!
La check-list a rapidement été balayée. Le pneu arrière, bien qu’usé par le home-trainer, avait l’obligation de tenir le coup. Je n’avais pas le temps de le changer. En vingt minutes, j’étais paré !
J’ai ainsi parcouru 45 km dans notre pampa Seine-et-Marnaise. Aidé par ma potion prohibé, j’ai lutté contre le vent, combattu les côtes agaçantes mais aussi admiré les paysages s’éveillant sous le soleil printanier, les écureuils intrépides jouant kamikazes, ainsi que toutes ces merveilles de la vie.
Et comme un « infidèle », bien qu’en faute dans mon engagement, j’ai pris du plaisir… Et c’était bien ! (J. , je t’Aime quand même 😉 )
Vive le vent d’hiver…
Dernière sortie avant l’an prochain ! Pour joindre l’utile à l’agréable, j’ai décidé d’explorer un itinéraire permettant de relier Combs la Ville à Sivry-Courtry en contournant Melun. Exercice réussi, puisqu’en rajoutant 1 km (26 au lieu de 25), j’ai évité les ronds points dangereux de l’entrée de Melun, la circulation et la pseudo voie rapide de contournement ! L’occasion pour moi de rester en vie.
Le vent était aussi de la partie, avec des rafales à 50 km/h. Ça parait peu, mais c’était bien assez pour « plomber » ma vitesse moyenne (voir la page « Suivre l’entraînement » ). Et puis ce dernier étant de Sud-Ouest, j’ai dû faire avec lui à l’aller et au retour. En somme, 53 km plutôt difficiles. Pour le jour J, il faudra penser à commander un vent de dos exclusivement.
Après 15 jours sans pédaler et après avoir bien mangé durant les fêtes de Noël, les sensations étaient plutôt bonnes bien qu’un peu faussées par ce vent…
Enfin dehors ! (Combs-Melun)
Même si j’échoue à rejoindre Tamié, je pourrai toujours dire que j’ai relié Combs à Melun…
Une sortie agréable, sous un ciel gris, avec une température avoisinant les 10°C. L’occasion de ressortir le maillot et le pantalon d’hiver, mais aussi l’occasion d’inaugurer la nouvelle veste. Mauvaise idée puisque j’ai transpiré comme un mulet. Note pour plus tard : au delà de 10°C, le maillot classique suffit sous la veste, et les gants « hiver » sont superflus.
Je suis passé par Lieusaint à l’aller, et ce n’est qu’en arrivant au centre commercial que j’ai compris pourquoi il y avait tant de circulation : les 3/4 des magasins étaient ouverts en ce troisième dimanche de l’Avent !
C’est donc par Réau que je suis rentré, itinéraire bien plus calme. Et j’ai eu la bonne surprise de voir, à l’arrivée, qu’il n’y avait qu’un kilomètre de plus qu’à l’aller. C’est donc via cette route que je rejoindrai Tamié… l’été prochain !
Le vent, qui soufflait assez fort et qui paraissait me pousser à l’aller… m’a aussi poussé au retour ! Situation tellement rare, qu’il faut bien la signaler. Donc aucune difficulté particulière. D’un autre côté, le parcours ne faisait que 35,5 km et je n’ai pas vraiment forcé… Il y a encore du boulot, mais c’est très motivant !!!