Le parcours !

Chose promise chose dûe, voici le parcours « officiel » !

Les dernières corrections de trajectoires ont rajouté 5 km. Enfin, la montée au Col de la Madeleine s’effectuera par la D76 et non par la montée traditionnelle. Plus difficile, mais aussi plus bucolique. Paraît-il…

Boucle Saint Jean de Maurienne – Tamié


Rebondissements et précisions

Le dernier article remonte à plus de 4 mois… Il est temps de faire le point sur l’évolution du projet.

Pour rappel, lors de la dernière Assemblée Générale, il a été décidé à l’unanimité que 3 étapes de Combs-la-Ville à Tamié, c’était trop difficile à organiser d’un point de vue « logistique » (logement, vêtements, chaussures, etc…). Le choix s’est alors porté sur une seule étape, de Villefranche à Tamié, soit 180 km. A Tamié, un sherpa (qui pour moi est comme un frère 😉 ) serait venu me récupérer en voiture. En effet, il habite à une soixantaine de kilomètres.

Malheureusement, début septembre, date prévue de la sortie, il travaille jusque très tard et ne peut donc pas venir avant 22 heures. Ce qui fait tard. Très tard… Trop tard…

Un membre du Conseil a alors émis l’idée de rajouter ces 70 km aux 180 initialement prévus, afin de me rendre chez lui directement. Après une rapide concertation, cette hypothèse a été éliminée. La distance était trop importante pour mes cuisses et mes fesses.

Il a donc été entrepris de revoir le concept de la balade. Le cahier des charges a été réécrit de cette manière :

– Passer à Tamié.

– Limiter la sortie à 1 seule étape.

– Ne pas dépasser 180 km.

– Finir la sortie à St Jean de Maurienne.

En toute logique, il a été proposé de décaler le départ de la sortie à 70 km de Villefranche, ce qui a été exclu compte-tenu de la perte de temps trop importante (trajet en train, etc…).

Les possibilités s’amenuisant, il n’en a été retenue qu’une seule : partir et arriver de Saint Jean de Maurienne. Pour na pas faire « un bête aller-retour » de St Jean à Tamié, une boucle reliant St Jean, Albertville, Tamié, Aiton et St Jean a été validée. La « petite côte » permettant de relier Saint Jean de Maurienne à Albertville, ou plutôt La Maurienne à La Tarentaise, va pimenter cette sortie de 155 km et compensera laaaaargement la « perte » des 25 km prévus auparavant.

J’ai parlé de « début septembre ». Rien n’est officiel, j’attends l’accord de mes congés. Dans ce cas, ce serait la semaine du 8 septembre. Soit 4 semaines pour peaufiner l’entraînement, et soigner l’alimentation.

Dans un prochain billet, je présenterai le parcours, puis détaillerai par section de 15 à 30 km.

Pour revenir sur l’entraînement, tout se passe bien. On peut s’en rendre compte sur la page de suivi. Je me sens plutôt en forme, ce qui est de bonne augure pour le mois de septembre.

Une sinusite, le printemps et du beau temps

Le titre résume bien la situation depuis le dernier article. Mais pour donner un peu de lecture aux quelques visiteurs du blog, je vais développer un peu…

J’ai été malade pendant près de 6 semaines, un peu avant mi-février. Ça a commencé par un rhume, mais ce dernier s’est transformé en sinusite, qui m’a particulièrement affaibli. Plus d’un mois plus tard, et 4 kilos en moins, j’en suis venu à bout. Il n’y a donc pas eu de vélo entre le 12 février et le 20 mars.

La première sortie après ces événements a été particulièrement difficile, malgré moins de 50km au compteur. Les suivantes m’ont permis de remonter « à mon niveau d’avant », ou presque… Il est temps de passer à 70 km par sortie.

D’autant que le printemps est bien installé, et que le soleil est de la partie. Hier il faisait plus de 20°C, c’était nettement plus agréable que les températures proches de 0°C du mois de janvier !

Dernières infos… J’ai « investi » dans une paire de manchettes. Très agréable quand on part à la fraîche et dès que le soleil se met à chauffer, hop, on les retire et on glisse dans la poche. Indispensables 😉 Enfin, mes « grandes vacances » se dérouleront du 22 juin au 16 juillet…

Bilan de fin janvier

Voilà, Janvier touche à sa fin, il est temps de se pencher sur le travail effectué depuis 1 mois. Les chiffres, d’abord :

– 410 km parcourus (255 sur route, 155 sur Home Trainer)
– 16h10 passées à pédaler
– 25,2 km/h de moyenne. Cette donnée n’a absolument aucune valeur « sportive » étant donnée la diversité des exercices, mais ça peut être intéressant de comparer avec les prochains mois…

L’hiver ne s’est pas montré très vigoureux. Il a fait froid, certes, mais l’absence de neige m’a permis de sortir « souvent ».

On note aussi un bon rythme d’entraînement, puisqu’à partir du 7, il y a eu exercices tout les 2 ou 3 jours, soit trois fois par semaine.

Je suis donc très content, il ne reste plus qu’à « garder la motivation » et la forme…

Pour davantage de détails sur le travail effectué, il faut aller voir le suivi de l’entraînement 2014.

Pour finir, je rajouterai que j’effectue un « travail spécifique » perte de poids sur Home Trainer, une fois par semaine, en complément d’un régime alimentaire « adapté ». Si je perds « quelque chose », je le mentionnerai dans un prochain article 😉 .

Les rendez-vous 2014

Ça y est, les rendez-vous 2014 sont fixés ! Il y en aura deux. Les dates restent à définir, mais c’est secondaire.

Chacune de ces épreuves se dérouleront sur une journée.

Sans surprise, la première – et la plus importante – est Arnas-Tamié. Je présente ci-dessous le parcours ainsi que le profil altimétrique :

On note deux difficultés : le col de l’Epine et le col de Tamié. L’ensemble fait près de 190km, tout de même… Avec un départ dans les 4 heures du matin, c’est jouable… Je précise qu’il n’y aura pas de retour en vélo. Ce sera en train ou en voiture 🙂 … Il existe une variante à ce parcours, qui me ferait passer par le « Nord », Nantua, Annecy, … Ces deux itinéraires font la même distance. A priori, je retiens le passage par le « Sud », car globalement plus « plat ».

Passons à la seconde épreuve. Il s’agit d’un « bonus » qui me tient particulièrement à cœur, puisque ancré dans mes souvenirs : j’ai nommé le Ballon d’Alsace ! Bien sûr, un « Ballon d’Alsace » tout seul n’est pas très intéressant. J’ai donc concocté une boucle au départ de Belfort, pied-à-terre potentiel… Ce que je n’avais  prévu lors de l’élaboration du parcours, c’est que je devais aussi me payer un Ballon de Servance… rien que ça… Mais sur 100 km, c’est tout à fait faisable ! N’oublions pas que j’ai à mon actif un St Jean de Maurienne – Galibier !

Voici donc le détail de la balade :

Pour ne pas passer à côté de ces sorties, je me prépare plutôt activement. Je profite pour sortir entre deux jours de pluie, et le reste du temps, j’effectue mes exercices sur home-trainer, au milieu du salon et sous un « déluge » de sueur…

Le suivi de l’entraînement 2014 est disponible dans le menu en haut de la page. Au 19 janvier, je suis à 260 km. On peut espérer atteindre les 300 km de moyenne par mois, ce qui, théoriquement, devrait donner 3600 km sur l’année. C’est peu, mais déjà pas mal pour un « moi »…

Changement de plan…

L’Hiver arrive à grands pas, les fêtes de fin d’année également. Tout cela laisse présager du rire, de la bonne humeur, mais aussi des repas copieux, des chocolats, etc… Et avec la nuit qui tombe dès 16h30, ce n’est pas évident d’éliminer calories et poignées d’amour en pédalant…

C’est pour cette raison que je profite de mes derniers jours de vacances 2013 ainsi que du soleil pour perdre mes kilos superflus accumulés ces dernières semaines en effectuant de petites balades. Bien équipé, je ne crains pas les 4°C qui tentent de s’opposer à ma motivation. Avec ces sorties, combinées au home-trainer, je me sens plus serein pour passer de 2013 à 2014 !

Les plus assidus auront remarqué qu’entre septembre et fin novembre, les sorties se sont faites plutôt rares… La « faute » à mon périple au Galibier qui m’a littéralement « dégouté » du vélo… Du moins pendant 2 mois 😉 . Un psy aurait pu expliquer le « pourquoi du comment ». Pour moi c’est simple : c’était un exercice trop difficile, et si mon corps a tenu le coup lors du « dépassement de soi », ma Tête, elle, a dit « stop ! »… Et elle a stoppé la motivation…

Aujourd’hui je suis dans de meilleures dispositions et le projet Combs-Tamié refait surface. Ou plutôt, il évolue… En effet, rouler pendant 3 jours, bien que physiquement envisageable, ne l’est pas d’un point de vue logistique… Vêtement, couchage, dépannage, impossible à mettre en œuvre sans une voiture accompagnatrice. La nouvelle idée, c’est de rejoindre Villefranche-sur-Saône à Tamié. Pourquoi Villefranche ? Parce que j’y ai un pied à terre ! Le détail de l’aventure n’est pas encore défini, mais ces 200 km sont à ma portée ! Et pourquoi ne pas imaginer Combs-Tamié, mais en plusieurs fois « 1 étape » ?

D’autres articles devraient suivre avec davantage de précisions…

Comme les pros, mais en amateur…

L’an passé, je m’étais lancé comme défi de gravir le Col de l’Iseran depuis Modane. Et j’avais réussi… Il y a quelques semaines, mes roues m’ont fait savoir qu’elles retourneraient bien “tâter le bitume” à la montagne. Ayant un “pied à terre” bon marché à St Jean de Maurienne, l’itinéraire sportif était tout trouvé : Les cols du Télégraphe et du Galibier !

Mais avant de détailler la “balade”, commençons par LA photo, prise à 1,5 km du sommet :

galibier-griffe

A présent pour les plus courageux, un peu de lecture…

Je pars le lundi matin, en TER depuis Paris pour rejoindre St Jean de Maurienne. Pourquoi en TER ? Parce qu’en TGV, j’aurais dû séparer cadre, roues et pédales et fourrer le tout dans une housse. L’espace étant déjà restreint pour une vulgaire valise, un vélo en kit aurait été trop encombrant. Sans parler du risque important de détérioration !

Arrivé à destination, j’ai droit à une visite guidée de la ville en mini-autobus, à un repas de champions (des pâtes…), à une bonne petite soirée et… à une petite nuit, le réveil sonnant à 6h…

A 7h, je suis fin prêt, et m’élance dans la fraicheur alpine. Il fait 8°C. Plus tard, ça descendra à 6… Je parcours les 13 km qui séparent Saint Jean de Saint Michel de Maurienne. Je gère l’effort, car même si ça roule plutôt bien, il faut garder un maximum d’énergie pour plus tard 😉 …

“Plus tard”, c’est maintenant. Après une pause pipi et un premier ravitaillement, les hostilités commencent : la grimpette du Col du Télégraphe. 12 km à 7,3% de moyenne. Mon organisme est bien préparé, et l’ascension se déroule bien. Au bout d’une cinquantaine de minutes, je suis en haut du premier obstacle, et me délecte de la petite descente vers Valloire. Tout en gardant à l’esprit que chaque mètre descendu devra être remonté 🙁 …

A Valloire, il fait froid, et il n’y a personne en ce mardi matin… Second ravitaillement, et c’est reparti pour l’ascension finale : les 17 km du Col du Galibier !

Mais à 9 km du sommet, je dois déjà m’arrêter. Mes jambes me rappellent qu’elles viennent de franchir le télégraphe et réclament du carburant. Je les satisfais en ingurgitant un gel concentré. J’en profite aussi pour me déshabiller un peu. En levant les yeux, je vois les lacets qui serpentent, et qui montent hauts, très haut… Je repars, mais je stoppe à nouveau 3 km plus loin. Une barre de céréale, et je relance… pour 1,5 km ! Histoire de contenter ma seconde jambe, je prends un second gel. Mais mon moral tombe bien bas. Je me mets à douter… Mes jambes me brûlent et ne veulent plus tourner… Dans un dernier effort, je repars. Mon corps me fait alors comprendre qu’il n’est pas d’accord du tout, et je ressens une double crampe à la cuisse droite : dessus et dessous ! Je m’arrête encore, pour marcher et détendre ces foutus muscles. Il reste 3,5 km. La crise passée, je repars une nouvelle fois…

Mais cette fois, les gels font leurs effets, et, bien que souffrant comme un galérien, je roule ! Le sommet, qui me domine depuis un certain temps déjà, semble toujours inaccessible. Sa hauteur comparée à la distance restante laisse présager de la raideur de la rampe… A 1,5 km, au détour d’un virage, surprise, un photographe professionnel immortalise l’exploit des cyclistes (d’où la photo 😉 ). Bien que relativement “frais” sur le cliché, j’entre dans un état second. Mes nerfs deviennent incontrôlables, mon visage se crispe, et des larmes s’échappent sans que je ne puisse les retenir. En fait, je ne sens plus la douleur, mon esprit et mon corps semblent se séparer. C’est donc ça, le “dépassement de soi” ?

Le sommet est là, à 500m, et il semble enfin se résigner à être vaincu. Vers 11h40, la route redevient plane, je suis en haut !

Je m’y attarde une dizaine de minutes, puis m’équipe pour redescendre. La suite est moins fatigante, mais plus rapide. Je croise de nombreux autres cyclistes qui en bavent.

Arrivé à Valloire, et après un petit sandwich, je remonte le Col du Télégraphe. Ce n’est pas très raide, et je grimpe assez facilement. Puis j’entame la dernière descente, longue et… dangereuse (dédicace à Beloki) 🙁 . Enfin, je retrouve “le plancher des vaches” à Saint Michel. Pour finir en beauté, je dois affronter un vent à 40 km/h sur les 13 derniers kilomètres. Mes jambes me brûlent terriblement, mais il faut bien rentrer…

La journée se termine par une sortie à la pizzeria et une victoire des bleus. Sauf que personne n’a parlé de moi dans les journaux…

Le lendemain, le train part à 8h10. C’est un peu comme à l’aller, mais avec un petit bonheur en plus…

Merci Julie pour ces 3 jours 😉 !

galibier_profil

Bilan de la mi-août (miaouuuu !…)

Je me lance dans un petit article, des fois que le Père-Noël, entre 2 cadeaux, passe sur ce blog…

La reprise « post-vacances » s’est plutôt bien passée. J’ai banni sodas, bonbons, et autres aliments si bons, mais si mauvais…

J’ai également investi dans une nouvelle paire de roues. Bon, j’avoue que ce ne sont pas des roues au top du haut de gamme, mais elles sont suffisamment performantes pour s’accorder avec les caractéristiques du reste du vélo. Plus légères, plus réactives, des roulements plus efficaces, bref, autant de « Watts » d’économisés à chaque coup de pédale. (cf. suivi de l’entraînement). Pour être encore plus précis, j’ajoute qu’il s’agit du système roue+pneu de chez Mavic (roue Aksium et pneu Aksion).

Enfin, j’essaie de sortir un maximum, et remercie au passage ma moitié chérie (des fois qu’elle aussi passe sur le blog, en plus du Père Noël) de me laisser autant de liberté.

Pour l’illustration du jour, une photo de mes 2… roues :roue_aksium

Bronchite, vacances et canicule…

Alors que Froome vient de faire le show pendant près de 3 semaines, il est temps de faire le point sur l’évolution de mon entraînement. Pour être bref, je suis resté 5 semaines sans rouler, perdant ainsi tout le bénéfice des efforts effectués avant l’été. La raison principale est une bronchite que j’ai développée fin juin et… je n’ai pas soignée, provoquant de fait une infection pulmonaire. J’ai donc consulté le médecin avec 15 jours de retard. Le mal était fait, ma condition physique était déjà très dégradée.

Durant cette période, nous sommes aussi partis en vacances. Qui dit « vacances » dit « excès », notamment sur les gâteaux apéro, les sodas, et autres « bonnes choses »…

Enfin, depuis notre retour, la chaleur règne sur la région, ce qui ne permet pas de reprendre la route sereinement.

J’ai donc limité la reprise à 1h30 de Home Trainer (endurence fondamentale) ce dimanche, afin de pouvoir stopper rapidement l’exercice en cas de « défaillance ».

Un petit défi « à court terme » s’est glissé dans le programme : au départ de Lanslebourg, enchaîner le Col du Mont Cenis et le Col de l’Iseran. Ce sera pour aout ou septembre.

Voilà pour l’actualité. Il reste environ 12 mois pour préparer correctement le Défi principal. Pas de temps à perdre, il faut y aller !!!