Rebondissements et précisions

Le dernier article remonte à plus de 4 mois… Il est temps de faire le point sur l’évolution du projet.

Pour rappel, lors de la dernière Assemblée Générale, il a été décidé à l’unanimité que 3 étapes de Combs-la-Ville à Tamié, c’était trop difficile à organiser d’un point de vue « logistique » (logement, vêtements, chaussures, etc…). Le choix s’est alors porté sur une seule étape, de Villefranche à Tamié, soit 180 km. A Tamié, un sherpa (qui pour moi est comme un frère 😉 ) serait venu me récupérer en voiture. En effet, il habite à une soixantaine de kilomètres.

Malheureusement, début septembre, date prévue de la sortie, il travaille jusque très tard et ne peut donc pas venir avant 22 heures. Ce qui fait tard. Très tard… Trop tard…

Un membre du Conseil a alors émis l’idée de rajouter ces 70 km aux 180 initialement prévus, afin de me rendre chez lui directement. Après une rapide concertation, cette hypothèse a été éliminée. La distance était trop importante pour mes cuisses et mes fesses.

Il a donc été entrepris de revoir le concept de la balade. Le cahier des charges a été réécrit de cette manière :

– Passer à Tamié.

– Limiter la sortie à 1 seule étape.

– Ne pas dépasser 180 km.

– Finir la sortie à St Jean de Maurienne.

En toute logique, il a été proposé de décaler le départ de la sortie à 70 km de Villefranche, ce qui a été exclu compte-tenu de la perte de temps trop importante (trajet en train, etc…).

Les possibilités s’amenuisant, il n’en a été retenue qu’une seule : partir et arriver de Saint Jean de Maurienne. Pour na pas faire « un bête aller-retour » de St Jean à Tamié, une boucle reliant St Jean, Albertville, Tamié, Aiton et St Jean a été validée. La « petite côte » permettant de relier Saint Jean de Maurienne à Albertville, ou plutôt La Maurienne à La Tarentaise, va pimenter cette sortie de 155 km et compensera laaaaargement la « perte » des 25 km prévus auparavant.

J’ai parlé de « début septembre ». Rien n’est officiel, j’attends l’accord de mes congés. Dans ce cas, ce serait la semaine du 8 septembre. Soit 4 semaines pour peaufiner l’entraînement, et soigner l’alimentation.

Dans un prochain billet, je présenterai le parcours, puis détaillerai par section de 15 à 30 km.

Pour revenir sur l’entraînement, tout se passe bien. On peut s’en rendre compte sur la page de suivi. Je me sens plutôt en forme, ce qui est de bonne augure pour le mois de septembre.

Une sinusite, le printemps et du beau temps

Le titre résume bien la situation depuis le dernier article. Mais pour donner un peu de lecture aux quelques visiteurs du blog, je vais développer un peu…

J’ai été malade pendant près de 6 semaines, un peu avant mi-février. Ça a commencé par un rhume, mais ce dernier s’est transformé en sinusite, qui m’a particulièrement affaibli. Plus d’un mois plus tard, et 4 kilos en moins, j’en suis venu à bout. Il n’y a donc pas eu de vélo entre le 12 février et le 20 mars.

La première sortie après ces événements a été particulièrement difficile, malgré moins de 50km au compteur. Les suivantes m’ont permis de remonter « à mon niveau d’avant », ou presque… Il est temps de passer à 70 km par sortie.

D’autant que le printemps est bien installé, et que le soleil est de la partie. Hier il faisait plus de 20°C, c’était nettement plus agréable que les températures proches de 0°C du mois de janvier !

Dernières infos… J’ai « investi » dans une paire de manchettes. Très agréable quand on part à la fraîche et dès que le soleil se met à chauffer, hop, on les retire et on glisse dans la poche. Indispensables 😉 Enfin, mes « grandes vacances » se dérouleront du 22 juin au 16 juillet…

Bilan de fin janvier

Voilà, Janvier touche à sa fin, il est temps de se pencher sur le travail effectué depuis 1 mois. Les chiffres, d’abord :

– 410 km parcourus (255 sur route, 155 sur Home Trainer)
– 16h10 passées à pédaler
– 25,2 km/h de moyenne. Cette donnée n’a absolument aucune valeur « sportive » étant donnée la diversité des exercices, mais ça peut être intéressant de comparer avec les prochains mois…

L’hiver ne s’est pas montré très vigoureux. Il a fait froid, certes, mais l’absence de neige m’a permis de sortir « souvent ».

On note aussi un bon rythme d’entraînement, puisqu’à partir du 7, il y a eu exercices tout les 2 ou 3 jours, soit trois fois par semaine.

Je suis donc très content, il ne reste plus qu’à « garder la motivation » et la forme…

Pour davantage de détails sur le travail effectué, il faut aller voir le suivi de l’entraînement 2014.

Pour finir, je rajouterai que j’effectue un « travail spécifique » perte de poids sur Home Trainer, une fois par semaine, en complément d’un régime alimentaire « adapté ». Si je perds « quelque chose », je le mentionnerai dans un prochain article 😉 .

Les rendez-vous 2014

Ça y est, les rendez-vous 2014 sont fixés ! Il y en aura deux. Les dates restent à définir, mais c’est secondaire.

Chacune de ces épreuves se dérouleront sur une journée.

Sans surprise, la première – et la plus importante – est Arnas-Tamié. Je présente ci-dessous le parcours ainsi que le profil altimétrique :

On note deux difficultés : le col de l’Epine et le col de Tamié. L’ensemble fait près de 190km, tout de même… Avec un départ dans les 4 heures du matin, c’est jouable… Je précise qu’il n’y aura pas de retour en vélo. Ce sera en train ou en voiture 🙂 … Il existe une variante à ce parcours, qui me ferait passer par le « Nord », Nantua, Annecy, … Ces deux itinéraires font la même distance. A priori, je retiens le passage par le « Sud », car globalement plus « plat ».

Passons à la seconde épreuve. Il s’agit d’un « bonus » qui me tient particulièrement à cœur, puisque ancré dans mes souvenirs : j’ai nommé le Ballon d’Alsace ! Bien sûr, un « Ballon d’Alsace » tout seul n’est pas très intéressant. J’ai donc concocté une boucle au départ de Belfort, pied-à-terre potentiel… Ce que je n’avais  prévu lors de l’élaboration du parcours, c’est que je devais aussi me payer un Ballon de Servance… rien que ça… Mais sur 100 km, c’est tout à fait faisable ! N’oublions pas que j’ai à mon actif un St Jean de Maurienne – Galibier !

Voici donc le détail de la balade :

Pour ne pas passer à côté de ces sorties, je me prépare plutôt activement. Je profite pour sortir entre deux jours de pluie, et le reste du temps, j’effectue mes exercices sur home-trainer, au milieu du salon et sous un « déluge » de sueur…

Le suivi de l’entraînement 2014 est disponible dans le menu en haut de la page. Au 19 janvier, je suis à 260 km. On peut espérer atteindre les 300 km de moyenne par mois, ce qui, théoriquement, devrait donner 3600 km sur l’année. C’est peu, mais déjà pas mal pour un « moi »…

Changement de plan…

L’Hiver arrive à grands pas, les fêtes de fin d’année également. Tout cela laisse présager du rire, de la bonne humeur, mais aussi des repas copieux, des chocolats, etc… Et avec la nuit qui tombe dès 16h30, ce n’est pas évident d’éliminer calories et poignées d’amour en pédalant…

C’est pour cette raison que je profite de mes derniers jours de vacances 2013 ainsi que du soleil pour perdre mes kilos superflus accumulés ces dernières semaines en effectuant de petites balades. Bien équipé, je ne crains pas les 4°C qui tentent de s’opposer à ma motivation. Avec ces sorties, combinées au home-trainer, je me sens plus serein pour passer de 2013 à 2014 !

Les plus assidus auront remarqué qu’entre septembre et fin novembre, les sorties se sont faites plutôt rares… La « faute » à mon périple au Galibier qui m’a littéralement « dégouté » du vélo… Du moins pendant 2 mois 😉 . Un psy aurait pu expliquer le « pourquoi du comment ». Pour moi c’est simple : c’était un exercice trop difficile, et si mon corps a tenu le coup lors du « dépassement de soi », ma Tête, elle, a dit « stop ! »… Et elle a stoppé la motivation…

Aujourd’hui je suis dans de meilleures dispositions et le projet Combs-Tamié refait surface. Ou plutôt, il évolue… En effet, rouler pendant 3 jours, bien que physiquement envisageable, ne l’est pas d’un point de vue logistique… Vêtement, couchage, dépannage, impossible à mettre en œuvre sans une voiture accompagnatrice. La nouvelle idée, c’est de rejoindre Villefranche-sur-Saône à Tamié. Pourquoi Villefranche ? Parce que j’y ai un pied à terre ! Le détail de l’aventure n’est pas encore défini, mais ces 200 km sont à ma portée ! Et pourquoi ne pas imaginer Combs-Tamié, mais en plusieurs fois « 1 étape » ?

D’autres articles devraient suivre avec davantage de précisions…

Bilan de la mi-août (miaouuuu !…)

Je me lance dans un petit article, des fois que le Père-Noël, entre 2 cadeaux, passe sur ce blog…

La reprise « post-vacances » s’est plutôt bien passée. J’ai banni sodas, bonbons, et autres aliments si bons, mais si mauvais…

J’ai également investi dans une nouvelle paire de roues. Bon, j’avoue que ce ne sont pas des roues au top du haut de gamme, mais elles sont suffisamment performantes pour s’accorder avec les caractéristiques du reste du vélo. Plus légères, plus réactives, des roulements plus efficaces, bref, autant de « Watts » d’économisés à chaque coup de pédale. (cf. suivi de l’entraînement). Pour être encore plus précis, j’ajoute qu’il s’agit du système roue+pneu de chez Mavic (roue Aksium et pneu Aksion).

Enfin, j’essaie de sortir un maximum, et remercie au passage ma moitié chérie (des fois qu’elle aussi passe sur le blog, en plus du Père Noël) de me laisser autant de liberté.

Pour l’illustration du jour, une photo de mes 2… roues :roue_aksium

Bronchite, vacances et canicule…

Alors que Froome vient de faire le show pendant près de 3 semaines, il est temps de faire le point sur l’évolution de mon entraînement. Pour être bref, je suis resté 5 semaines sans rouler, perdant ainsi tout le bénéfice des efforts effectués avant l’été. La raison principale est une bronchite que j’ai développée fin juin et… je n’ai pas soignée, provoquant de fait une infection pulmonaire. J’ai donc consulté le médecin avec 15 jours de retard. Le mal était fait, ma condition physique était déjà très dégradée.

Durant cette période, nous sommes aussi partis en vacances. Qui dit « vacances » dit « excès », notamment sur les gâteaux apéro, les sodas, et autres « bonnes choses »…

Enfin, depuis notre retour, la chaleur règne sur la région, ce qui ne permet pas de reprendre la route sereinement.

J’ai donc limité la reprise à 1h30 de Home Trainer (endurence fondamentale) ce dimanche, afin de pouvoir stopper rapidement l’exercice en cas de « défaillance ».

Un petit défi « à court terme » s’est glissé dans le programme : au départ de Lanslebourg, enchaîner le Col du Mont Cenis et le Col de l’Iseran. Ce sera pour aout ou septembre.

Voilà pour l’actualité. Il reste environ 12 mois pour préparer correctement le Défi principal. Pas de temps à perdre, il faut y aller !!!

« Mai » que s’est-il passé ?

Le mois de Juin est arrivé, succédant à un mois de mois de Mai assez particulier.

D’un point de vue météorologique, d’abord, puisque l’ensoleillement a été exceptionnellement déficitaire et puisque les températures n’ont jamais vraiment décollé. Mais d’un point de vue personnel, aussi, puisque j’ai malheureusement perdu 3 de mes proches en 4 semaines. Outre l’affaiblissement moral de ces tristes événements, j’ai dû renoncer à m’entraîner plusieurs jours. En effet, les enterrements ont eu lieu en Lorraine et en Alsace, donc loin de mon « terrain de jeu ».

Mais Juin est aussi l’occasion de dresser un premier bilan, 6 mois après la création de ce blog, donc 6 mois après la création du projet Combs-la-Ville – Tamié.

Quelques chiffres, d’abord :

– 1219 km au total. Je l’avoue volontiers, c’est peu.
– 53 heures passées à pédaler. Là aussi, c’est maigre…
– 384 km de Home Trainer. Soit 30 % du total, c’est plutôt bon.

Si les sorties n’ont pas été nombreuses durant ces 6 mois, on note, sur les 7 dernières :

le 07 Avril 2013 : 45,6 km – Vitesse moyenne : 22,1 km/h
le 24 Avril 2013 : 53,1 km – Vitesse moyenne : 23,9 km/h
le 07 Mai 2013 : 52,0 km – Vitesse moyenne : 23,4 km/h
le 25 Mai 2013 : 52,6 km – Vitesse moyenne : 23,9 km/h
le 26 Mai 2013 : 66,0 km – Vitesse moyenne : 24,7 km/h
le 01 Juin 2013 : 58,6 km – Vitesse moyenne : 25,9 km/h
le 02 Juin 2013 : 59,5 km – Vitesse moyenne : 25,1 km/h

Le profil Seine-et-Marnais n’a pas changé. Mon vélo n’a pas changé. Bref, l’entraînement paye ! Prises individuellement, ces moyennes font vraiment « amateur ». Mais l’évolution de celles-ci est très encourageante. En effet, l’objectif, pour le jour J (disons plutôt « les » jours J) est de rouler à 25 km/h. Mais pendant 8 heures et sur 200 km par jour.

Sur le relevé ci-dessus, on note également que la distance des sorties s’allongent. Surtout que les 25 – 26 mai et 01 – 02 juin, les sorties se sont déroulées sur 2 jours consécutifs.

L’objectif, pour les 6 prochains mois, est d’augmenter encore les distances, tout en maintenant une vitesse moyenne comprise entre 25 et 27 km/h. Pour cela, il va falloir s’intéresser de plus près à l’aspect « diététique » de l’ « athlète » (athlète en paille, oui, c’est vrai…).

La petite ombre concerne les 3 semaines de vacances en juillet, normalement prévues sans vélo… Je réfléchis déjà au moyen de limiter les dégâts…

Je crois que le bilan est assez limpide. Il y a déjà du progrès, mais il y a encore du boulot ! Surtout ne pas se décourager, penser à Tamié, là-haut, au bout de tous ces efforts… Et puis maintenant, forcément, mes grands-parents m’ « accompagnent »…

Ce qu’il ne faut pas faire…

Les tristes événements de ces derniers jours m’ont obligé à quitter La Brie quelques jours en ce début du mois de mai. Ma petite famille et moi en avons profité pour passer quelques jours en Alsace, pays de la choucroute et des saucisses, mais aussi – mondialisation oblige –  des Mc Do, des Hippopotamus, et autres restaurants « caloriques »…

Après 10 jours à l’arrêt, le vélo est ressorti cet après-midi. Le constat est sans appel : des frites, des pâtes, de la bière et encore des frites, ça coupe la faim, mais ça n’apporte pas grand chose à l’organisme. Sans parler des 2 flûtes de mousseux avalées à 2 heures de l’effort… Et l’absence d’exercice physique durant plus de 8 jours fait clairement baisser le niveau. Surtout qu’il n’est déjà pas très haut…

Pour bien faire, j’aurai dû reprendre le home-trainer pour une bonne heure en ce jour de reprise, et une bonne heure 2 jours plus tard, le tout pour retravailler l’endurance fondamentale, sans forcer sur les muscles. Alors, certes, je n’ai pas réalisé de performance particulière dehors, mais j’ai tout de même sollicité mon organisme, lequel n’était pas tout à fait prêt…

Ce n’est en rien catastrophique, mais ça montre très concrètement que la partie « nutrition » dans le sport, c’est très important. Je le savais en théorie, maintenant, je le sais « par expérience » ! Et pour « le défi » de l’an prochain, c’est une très bonne leçon !…

 

Point presse n°2

Après avoir annoncé que tout allait bien, puis le projet était tout simplement reporté de 12 mois, voilà qu’il n’y a plus aucune nouvelle… Comment doit-on comprendre ce silence ?

Cette interrogation est légitime. En revanche, il est n’est pas exact de dire qu’il n’y a aucune nouvelle, puisque le tableau de suivi de l’entraînement continue d’être mis à jour régulièrement.

Peut-être… Mais en étudiant le tableau, on imagine qu’il faudra 30 jours pour rejoindre Tamié, non ?

En effet, les séances d’entraînement ne sont pas très longues. En fait, après plus de 6 semaines de pause, j’ai considéré que mon niveau était au plus bas. J’ai donc décidé de suivre un plan d’entraînement s’adressant précisément aux cyclistes « sans niveau »… Ce dernier se déroule sur 8 semaines, découpées en 4 quinzaines. J’en suis à la deuxième semaine.

En quoi consiste ce plan ?

Tout simplement à travailler l’endurance fondamentale. En fait, cette endurance fondamentale, c’est la base pour progresser. Et lors des sorties que j’ai pu faire jusqu’à maintenant, mon rythme était trop élevé pour améliorer cette endurance. Mais j’y reviendrai bientôt, dans prochain billet.

Concrètement ?

J’ai acheté un home trainer ! Avec cet outil et avec mon cardiofréquencemètre, il est aisé de se maintenir à une fréquence cardiaque limite pendant un certain temps. Là, en l’occurrence, c’est à 60% de ma Fréquence Cardiaque Maximale, pendant 60 minutes. Dehors, la route est toujours vallonnée, tantôt avec du vent dans le dos, tantôt de face. Il y a des ralentissements, des accélérations, … autant de contraintes qu’il est difficile à gérer pour maintenir sa fréquence cardiaque dans une plage imposée.

Cela ne signifie pas que je ne sortirai plus, au contraire ! Mais il faut que j’apprenne à écouter davantage mon organisme, et à toujours penser « entraînement » plutôt que « performance »…

C’est noté. Mais alors que va-t-il se passer après ces 8 semaines ?

Bonne question, merci de l’avoir posée… En réalité je l’ignore un peu… Je vais sans doute travailler davantage la durée de l’effort plutôt que l’effort « ponctuel ». En effet, pour rejoindre Tamié, sprinter ne me servira pas à grand chose, ni gravir des côtes à des vitesses importantes. En revanche, tenir 8 heures sur le vélo sans flancher me paraît plutôt indispensable…

On comprend que le projet n’est pas vraiment enterré, mais qu’il est en standby…

Absolument pas ! Je que j’essaie de dire depuis le début, c’est ce projet mérite un entraînement plus conséquent que ce que j’imaginais… Donc je rajoute 12 mois, mais c’est pour mieux aller au bout ! En attendant, restez attentifs à toutes nouveautés 😉 !